Après onze égalisations jusqu’à 17 partout, Ospital-Ducassou prenaient l’ascendant sur Sanchez-Zabaleta qui étaient un peu plus bousculés. Menés 21-17, les joueurs d’Hegoalde n’ont rien lâché et sont revenus à 21 partout. Un peu moins patients que leurs adversaires, Sanchez-Zabaleta tentaient plus d’attaques en fin de rencontre mais commettaient plus de fautes ce qui relançait Ospital-Ducassou. Ces derniers ont conclu la partie 30-24. “C’est la première fois qu’on jouait en fronton, c’était bizarre, mais je pense qu’on a fait une belle prestation. On a fait quelques fautes qu’il ne fallait pas faire en fin de partie et quand tu fais une faute cela paye pour les autres”, estime Luis Sanchez. De son côté, Baptiste Ducassou a savouré cette partie en fronton, une modalité dans laquelle l’Itsasuar se sent bien : “Au début, ils nous ont perturbé par leur capacité à secouer la pelote, ils mettaient beaucoup de longueur, c’était perturbant. Petit à petit, on a réussi à bien compenser, à quadriller la kantxa. […] J’ai retrouvé le plaisir de jouer en plein air, avec le public à côté, c’est joli”.
À quand la revanche ?